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                                                   LE JOURNAL CORDELIA SHIRLEY                 

     

    Lundi 20 février 1989 ;               

    Je me présente mon prénom est Cordelia Shirley et je vis seul dans la demeure de mes parents (qu’ils reposent en pais), je crois que j’ai assez de courage pour vous raconter comment ça c’est passer, c’était le jour le plus sombre que vous auriez jamais vue je suis sorti de mon lit et vi le ciel s’assombrir et d’un coup et je fis prise de peur par cette désastreuse journée, j’étais presque sûr que cette matinée allais mal tournée quand tout d’un coup j’entendis mère crié(elle était sortie pour collecter les œufs comme d’habitude) dehors il y avait l’orage le plus fort que personne n’aurais jamais vue morte de peur je me suis caché en dessous de mon lit puis j’entendis père sortir de notre foyer je suis convaincu que c’était pour sauve mère , quand la tornade s’est calmé, j’ai pris ma bicyclette et je suis parti voir le maire en ville je lui est tout raconte et la communauté a décidé que je devrais aller vivre avec ma tante.

    Tante Joséphine étais la pire tante que vous aurez jamais pu avoir elle avait une armée de ride sur sa tête puis au bout de son long nez  se trouvait une affreuse verrue ou peut être que s’était un affreux poireau sa tête étais remplie de gros bonton qui donnait envie de vomir et elle était aussi cruel qu’une sorcière elle m’avait adopté pour hériter de l’argent de mes parent qui étais enfaite assez riche quand j’ai aménager chez elle, elle me traitais comme sa servante et je devais dormir avec les chevaux, un jour j’en ai eu mare alors le soir (vers minuit je crois)je suis rentrée à la maison chez moi, étonnement tante Joséphine a ignorer tout ça .

    Vous vous demander surement a quoi je ressemble alors je vais me décrire, je suis vêtu d’une robe verte comme les pommes en été et son tablier blanc comme la neige en hiver et finalement mes bottes noir comme le charbon qui brule dans la cheminer (car aujourd’hui je travaillerais avec les animaux de la ferme) j’ai malheureusement les cheveux roux et miraculeusement les yeux vert ce qui est marrant est que ils sont de la même couleur que ma robe je possède aussi des affreuses tache de rousseur qui me décourage à être fière de mon physique.

    Pour être honnête avec vous cette matinée est la plus belle et ensoleiller que je n’aurais jamais vue,  le soleil est brillant et jaune comme l’or, le bas de se soleil est magnifique il est rempli de nuages gris, comme le diamant qui brille sur le doit de la reine Elizabeth. Mon seul rêve est d’être la reine elle est tellement parfaite je suis jalouse d’elle comme si vous voyez un enfant avec des pralines et vous vous êtes obliger de boire votre cuillerée d’huile de foie. Et aussi elle vit dans un grand palais et moi je demeure dans un petit cottage fais de bois couleur café il y a deux chambres, une minuscule cuisine, un petit salon, les WC et dernièrement les champs qui sont mes jardin et l’espace pour les animaux, pour être honnête c’est une petite maison mais heureusement elle me convient.

    20 précieuses minutes plus tard

    « AU SECOURS AU SECOURS ! »Criai-je je savais que si quelqu’un me découvrait je saurais obliger de repartir chez tante Joséphine et que elle ferait semblant qu’elle me cherchait pendant ces deux dernières années mais là j’ai été obligé par contre personne n’est venu logiquement personne n’allait venir car je vivais aux beau milieux de nul par. Pourquoi je criais au secours vous vous demander et bien je vais vous le dire, hier un des chien de garde a décidé qu’il n’avait pas faim et n’a rien manger du coup les cinq autre chien ont partagé son repas et ont tout mangé. Cette matinée il a eu faim et a mordu la jambe d’un chevreau tellement fort que le chevreau est en ce moment par terre et il est entouré de du sang, se chevreau a seulement 9 mois et demis et est nommé neige père l’avait appelé ainsi grâce à son pelage blanc. Comme le chevreau soufrait je suis parti chercher le bandage que mon père collectionnait ce bandage était en dessous de son lit et de celui de mère j’ai couru dans la salle de bain chercher le désinfectant qui appartenait à ma mère j’espère qu’il n’est pas moisi ou trop vieux .Puis de retour dehors j’ai couru trouver l’endroit où se trouvait toute les chèvres et au bout d’une ou deux minute j’ai atteint la chèvre en douleur, après ça je me suis agenouiller devant lui en appliquant du désinfectant sur sa jambe puis je l’ai entourer avec le bandage de mon père.

    Au bout de dix minutes, l’animal a arrêté de bouger, par terre il ne fit pas un bruit ni un mouvement, en voyant sa j’ai pleuré sans m’arrêté après ce qui me semblait des heures j’ai arrêté de pleurer, et bien sur je me suis fâché sur le chien de garde, ce chien était tout doux comme une peluche c’était un Bergé allemand il avait un pelage roux comme mes cheveux et noir comme un corbeau ses beau et longs poils était beaux et brillants et finalement il avait des yeux de la couleur et de la forme de des amandes belle et bien fraiches j’espère qu’ il a compris son erreur et à pleurer un bon coup et ça a été lui qui a creuser le trou pour enterré le chevreau cela a été horriblement triste je fis ma prière :Au nom du Père, du Fils et du Saint Esprit. Amen ! Je suis ici pour évoquer celui qui nous a quittés, et le confier à la tendresse de Dieu. Pensons aussi à ceux qui sont présents dans notre prière.

    Après cette affreuse journée je suis parti au lit sans manger. Le lendemain je me suis réveiller et Bernard le chien qui avait mangé le chevreau avait disparu ou pouvais il être...